Tu es Père, papa, pour nous

bien vivant, bien présent.

Tu me combles et me donnes la Vie aujourd'hui

car tu me veux cadeau de toi.

Aujourd'hui je t'aime comme je peux

et t'offre ce que je suis,

mon bien et mon péché.

 

Tard je T'ai aimée, ô Beauté si semblable et toujours nouvelle,

Tard je T'ai aimée !

Tu étais au-dedans et j'étais au dehors

Esprit Saint, ne permets pas que nos cœurs se troublent, rassure-nous dans nos obscurités, accorde-nous la joie, et nous attendrons dans le silence et la paix que se lève sur nous une lumière d’Évangile.

Jésus le Christ, en nos profondeurs tu discernes cette attente contemplative : une soif emplit notre âme, elle est de nous abandonner en toi.

Jésus notre espérance, avec le peu que nous comprenons de l’Évangile, tu nous donnes de découvrir ce que tu attends de nous.

Comme les bergers, je veillais dans le noir, je campais pas très loin d’ici. Mais c’est le temps de Noël. Alors je suis venu te voir.

 

Excuse-moi si mes moutons m’ont suivi. Mes moutons à moi, ce sont mes soucis, mes problèmes. Ce sont aussi mes joies, mes espoirs. Et puis, regarde : il n’y a pas que moi… De partout, d’autres gens sont venus: c’est tout le troupeau de l’Église, c’est toute l’espérance du monde que je sens à mes côtés.