"Jour où l'Église intercède pour ses membres endormis dans la mort et qui souffrent dans une ultime purification avant d'entrer dans la Gloire" (Martyrologe de Solesmes). Saint Odilon, abbé de Cluny, établit, dans le millier de monastères qui dépendaient de la grande abbaye bourguignonne, un office liturgique à l'intention de tous les frères défunts. L'extension de l'influence clunysienne étendit cette coutume à l'Église universelle en même temps que se précisait la doctrine concernant les âmes du Purgatoire ('Le purgatoire est l'infirmerie du Bon-Dieu' disait le curé d'Ars).Voir aussi - 'Le Sanctuaire de Notre-Dame de Montligeon', un lieu où l'on peut confier les défunts à la prière.- Communion des saints.Commémoraison de tous les fidèles défunts. La sainte Mère Église, attentive à rendre de dignes louanges à tous ses enfants qui jouissent du bonheur du ciel, s'empresse d'intercéder auprès de Dieu pour les âmes de tous ceux qui se sont endormis dans l'espérance de la résurrection, mais aussi en faveur de tous les hommes depuis la création du monde, dont le Seigneur seul connaît la foi, pour, qu'avec le secours d'instantes prières, ils puissent entrer dans la communauté des habitants du ciel et jouir de la vision du bonheur éternel.
La multitude des baptisés de toutes races, de toutes langues, de toutes nations, qui sont fils adoptifs par la grâce divine et participant de la vie trinitaire, cette multitude est anonyme aux yeux des hommes; Dieu seul la connaît, lui qui les a appelés. Elle déborde les calendriers de toutes les Églises. Dès le IVe s. l'Église syrienne consacrait un jour à fêter tous les martyrs dont le nombre était devenu si grand qu'il rendait impossible toute commémoration individuelle. Trois siècles plus tard, dans son effort pour christianiser les traditions païennes, le pape Boniface IV transformait un temple romain dédié à tous les dieux, le Panthéon, en une église consacrée à tous les saints. Cette coutume se répandit en Occident, mais chaque Église locale les fêtait à des dates différentes, jusqu'en 835, où elle fut fixée au 1er novembre. Dans l'Église byzantine, c'est le dimanche après la Pentecôte qui est consacré à la fête de tous les saints. "Toi seul es saint" car c'est en Lui que se trouve réalisée la plénitude de la sanctification de l'homme par Lui, avec Lui et en Lui, toute Gloire de Dieu. "Toi qui es la source de toute sainteté" disons-nous en chaque prière eucharistique #2. Voir aussi- Prière du Cardinal Roger Etchegaray (1922-2019) 'Etre Saint, c’est si simple!' - C'est la fête de tous les saints. Ceux qui sont connus, ceux qui ont été reconnus par une canonisation, mais aussi ceux qui sont restés dans l'oubli. Chaque 1er novembre, l'Eglise célèbre donc ceux et celles qui ont vécu dans la fidélité à l'Evangile et au service de tous, ceux et celles qui, connus ou inconnus, ont été de vivants témoins du Christ. C'est une fête belle et joyeuse, qui a longtemps été célébrée à proximité des fêtes de Pâques ou de la Pentecôte. Il ne faut pas confondre la Toussaint (1er novembre) et la fête des défunts (2 novembre). - Communion des saints.- 'L'ambition de la sainteté': la sainteté continue de paraître comme un phénomène éloigné de notre réalité quotidienne. Quel dommage! (par Mgr Macaire)- le dossier Toussaint sur le site de l'Eglise catholique en France.- sur le site du Cybercuré: sens de la fête de la Toussaint, histoire de la fête, liturgie de la fête, tradition de la fête, documentation sur la Toussaint.- vivre la Toussaint en famille (diocèse de Paris)- Toussaint - Tous saints? Yes we can! (à lire sur le blog jeunes cathos)Solennité de Tous les Saints. Dans la joie d'une fête unique, la sainte Église, encore en marche sur la terre, vénère tous ceux qui vivent dans le ciel avec le Christ, est incitée à suivre leur exemple, se réjouit de leur intercession et est couronnée de leur triomphe.
Il était romain, cinquième enfant, si l'on en croit son nom, ce qui était rare dans le Bas-Empire. Il partit pour la Gaule avec saint Lucien de Beauvais et plusieurs compagnons pour évangéliser cette région du Beauvaisis et de la Picardie. Selon les 'Actes' de sa vie, son succès provoqua la colère du préfet romain Rictiovare qui l'arrêta à Soissons, lui fit subir interrogatoires et supplices, le fit enfin décapiter, le 31 octobre. Sur le lieu de son martyre, s'éleva une ville qui prendra son nom: Saint-Quentin. Illustration: Laissez-vous conter Saint-Quentin (Saint-Quentin, ville d'art et d'histoire)Quentin est le fils d'un sénateur romain, (cinquième enfant, si l'on en croit son nom) serait venu en Gaule avec saint Lucien, futur évêque de Beauvais, en mission d'évangélisation. Établi à Amiens il est décapité à Augusta Veromandum, capitale du Vermandois, qui deviendra Saint-Quentin. Il est fêté le 31 octobre. (source: Saints du Pas de Calais - diocèse d'Arras)Saint Quentin fut un de ces jeunes Romains qui, comme saint Crépin et saint Crépinien, vinrent prêcher l'Évangile dans les Gaules et y communiquer le trésor de la foi qu'ils avaient reçu... (diocèse de Soissons, Laon et Saint-Quentin)Dans le Vermandois, en Gaule Belgique, vers la fin du IIIe siècle, saint Quentin, martyr, qui était de l'Ordre sacerdotal et fut mis à mort pour le Christ sous l'empereur Maximien.
Née dans le Frioul en Italie, elle entra dans le Tiers Ordre de Saint Dominique et se sanctifia ainsi sans entrer dans un couvent. Ses contemporains l'ont dotée de toutes les vertus, mais «on se demande quand elle eut le temps de les mettre en œuvre tellement son biographe nous la montre occupée à faire sans cesse des miracles.» (Englebert) Elle voulait imiter les souffrances du Christ. Un cilice ne lui suffisant pas, elle serra autour de sa taille une corde qui, peu à peu, lui entra dans la chair. Elle en tomba malade, couverte d'ulcères douloureux. Le pape Clément XII la béatifia en 1763, ratifiant ainsi le culte que le peuple lui rendait.Illustration: Beata Benvenuta Boiani site de la Conférence épiscopale italienneÀ Cividale dans le Frioul, en 1292, la bienheureuse Bienvenue Boiani, vierge, sœur de la Pénitence de Saint-Dominique, qui se donna tout entière à la prière et aux austérités.
Chaque 3 novembre, notre diocèse de Laval fête la Bienheureuse Marguerite d’Alençon, veuve et religieuse franciscaine. À travers cette célébration, nous honorons non seulement une femme de prière, mais aussi une grande bâtisseuse de charité qui a profondément marqué notre territoire mayennais, notamment par la fondation de l’hôpital de Château-Gontier. Une vie donnée à Dieu...
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Ils étaient déjà là lors de la première édition des Journées Mayennaises de la Jeunesse (JMJ), en 2022. Deux ans plus tard, Hubert, 21 ans, étudiant à l’ESTACA, et Timothée, 39 ans, chef d’entreprise, ont choisi de rempiler pour la prochaine édition, prévue en 2026. Deux générations, mais une même conviction : servir les jeunes...
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Le week-end dernier, la paroisse Sainte-Thérèse-Sainte-Anne-de-Thévalles a accueilli l’association « Au Coeur d’Abba ». Ainsi pendant deux jours, treize enfants et autant de parents sont venus déposer leurs histoires, leurs souffrances, leurs blessures et leurs fardeaux au pied de la Croix. Une association au service des familles L’association « Au Cœur d’Abba », fondée sous...
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Il présida le concile de Palestine qui décida de célébrer Pâques un dimanche et non au jour anniversaire du 14 nisan. Il mourut plus que centenaire et son remplaçant écrivit de lui: «Il gouverne encore l'Église par ses prières. Il vient d'avoir cent seize ans et il vous engage, comme je le fais aussi, à vivre dans la concorde et la paix.»Il était déjà très âgé quand il fut élu évêque de Jérusalem, ce qui ne l'empêcha pas de prendre une part très active à la vie de l'Église. Il donna sa vie au Christ, tué par l'épée selon le récit d'Eusèbe de Césarée.- Saint Narcisse, évêque de Jérusalem, nommé évêque de Jérusalem à l'âge de 100 ans, Narcisse obtient un changement dans la célébration de Pâques, lors de l'un des nombreux conciles des premiers temps de l'Eglise.Commémoraison de saint Narcisse, évêque de Jérusalem, dont il faut louer la sainteté, l'endurance et la foi. Il fut d'accord avec le pape saint Victor sur le temps de la célébration de la Pâque chrétienne, affirmant que le mystère de la Résurrection du Seigneur ne devait être célébré un autre jour que le dimanche et s'en alla avec bonheur auprès du Seigneur à l'âge de cent treize ans.
Jude est aussi appelé Thaddée pour le distinguer de Judas. Avec Simon, il appartenait sans doute à ces zélotes qui refusaient l'occupation romaine, mais le message du Christ fut pour lui la découverte de l'universalité de l'amour de Dieu. Saint Jean nous rapporte la question de saint Jude lors de la dernière Cène: «Pourquoi te découvres-tu à nous et non pas au monde?» (Jean 14.22). Jésus y répondra indirectement: «Si quelqu'un m'aime, il gardera mon commandement». Dans la liste des apôtres, ils sont côte à côte et la tradition les fait mourir ensemble en Perse. A lire:- Saints Simon et Jude, une catéchèse de Benoît XVI prononcée le 11 octobre 2006, sur ces deux apôtres souvent mal connus - site 'Jeunes cathos'- Épître de saint Jude 28 octobre: fête des saints Simon et Jude, Apôtres. Le premier était surnommé le Zélote; le second, fils de Jacques, appelé aussi Thaddée, interrogea le Seigneur à la dernière Cène sur sa manifestation et Jésus lui répondit: "Si quelqu'un m'aime, il restera fidèle à ma parole; mon Père l'aimera, nous viendrons chez lui, nous irons demeurer auprès de lui".
Simon est aussi appelé Simon le Zélote pour le distinguer de Simon-Pierre. Avec Jude, il appartenait sans doute à ces zélotes qui refusaient l'occupation romaine, mais le message du Christ fut pour lui la découverte de l'universalité de l'amour de Dieu. Saint Jean nous rapporte la question de saint Jude lors de la dernière Cène: «Pourquoi te découvres-tu à nous et non pas au monde?» (Jean 14.22) Jésus y répondra indirectement: «Si quelqu'un m'aime, il gardera mon commandement». Dans la liste des apôtres, ils sont côte à côte et la tradition les fait mourir ensemble en Perse.A lire aussi:- Saints Simon et Jude, une catéchèse de Benoît XVI prononcée le 11 octobre 2006, sur ces deux apôtres souvent mal connus - site 'Jeunes cathos'.28 octobre: fête des saints Simon et Jude, Apôtres. Le premier était surnommé le Zélote; le second, fils de Jacques, appelé aussi Thaddée, interrogea le Seigneur à la dernière Cène sur sa manifestation et Jésus lui répondit: "Si quelqu'un m'aime, il restera fidèle à ma parole; mon Père l'aimera, nous viendrons chez lui, nous irons demeurer auprès de lui".
Chaque année, au début du mois de novembre, l’Église nous invite à vivre deux fêtes intimement liées : la Toussaint (1ᵉʳ novembre) et la Commémoration des fidèles défunts (2 novembre). Ces deux jours ne sont pas séparés, mais forment comme les deux battements d’un même cœur : la joie du ciel et la prière pour...
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Ermite à Longeville-sur-la-Laines (Haute-Marne) au monastère de Boulancourt.Illustration: couverture du livre 'Vie de la bienheureuse Emeline d'Yèvres' (diocèse de Troyes) par M. l'abbé Ch. Lalore, 1869.Des internautes nous signalent:- "d'après le Routier cistercien elle est décédée en 1178 dans ce monastère cistercien de moniales fondé en 1152"- "d'après le dictionnaire des Saints (livre de poche A28A29), elle serait morte en 1079!"- c'est le routier cistercien qui a raison: la Bienheureuse Emeline est décédée en 1178 sur le territoire de l'abbaye de Boulancourt. Elle n'a pas pu mourir en 1079 car elle était contemporaine de ste Asceline et du bienheureux Gossuin qui relevaient de ce même monastère cistercien. Ce monastère est passé à l'ordre de Citeaux en 1147 à la demande de l'évêque de Troyes, Henry de Carinthie et quand les cisterciens sont arrivés, Emeline était déjà en activité comme sœur converse dans la grange de Perthes Sèches, près d'Yèvres-le-petit. Elle était aussi contemporaine de sire Symon de Beaufort à qui elle avait prédit une blessure à l’œil lors d'une bataille, ce qui arriva (le baron fit des dons à l'abbaye pour honorer cette sainte suite à cette prédiction). Emeline ne fut jamais sœur cistercienne mais seulement converse vivant selon la règle cistercienne et bien plus: d'une très grande pénitence, elle ne mangeait que 3 fois par semaine, allait pieds nus été comme hiver, portait le cilice, chantait des psaumes et priait toute la journée; elle avait des dons de prophétie qui faisaient courir toute la région pour la consulter. Morte en 1178, elle fut inhumée sous l'autel du couvent des Dames, rattaché à l'abbaye de Boulancourt, et une flamme brillant constamment avait été disposée. Puis, quand la chapelle fut détruite, ses restes furent translatés, avec ceux de ste Asceline et de St Gossuin, dans l'église de Boulancourt. Il ne reste plus rien aujourd'hui de ces vestiges. Emeline était un prénom très courant en Champagne, on disait même qu'Emeline (laquelle?) était la mère de ste Asceline, de 15 à 20 ans plus jeune que notre bienheureuse. En fait la mère d'Asceline était Agnès. Il n'existe aucune représentation, ni picturale, ni statuaire, de la bienheureuse Emeline d'Yèvres qui reste, décidément, une sainte bien discrète!
Démétrios ou Dimitri.Après saint Georges, il est le plus célèbre martyr militaire de l'Orient, d'où son nom de "mégalomartyr". Diacre à Sirmium en Dalmatie, il souffrit le martyre sous Dioclétien. Il est mentionné dans la liturgie byzantine.Son culte fut extrêmement populaire en Orient. Le diocèse de Gap en France voulut même se l'annexer en en faisant son premier évêque. D'autres en font un martyr du premier siècle.Il fait partie des saints du diocèse de Gap et d'Embrun.Illustration: Démétrios de ThessaloniqueEn fait, il y eut au quatrième siècle un saint Démétrios, martyr à Thessalonique, qui bénéficia de l'enjolivement de la piété populaire. On en fit un soldat chrétien et fier de l'être, on en fit même le proconsul de Grèce et de Macédoine. Dénoncé comme fauteur de troubles, il fut condamné à lutter dans l'arène contre un gladiateur plus robuste que lui; l'on vit arriver, avec lui, un jeune garçon nommé Nestor, frêle et courageux, qui d'un geste mit à mort ce géant. Dépité, l'empereur présent, fit mettre à mort l'enfant et Dimitri. De son corps se mit à jaillir une huile odoriférante et miraculeuse.Au martyrologe romain au 9 avril: À Sirmium en Pannonie, saint Démétrius, martyr.
ou Illier, évêque de Mende. Il eut à lutter contre des fanatiques païens et contre les soldats francs qui s'avançaient dans le Gévaudan. De tous, il sut défendre ses fidèles et nous savons, par sa présence au concile de Bourges, qu'il fut un artisan de paix et de réconciliation. Des villes de la Lozère et de l'Aveyron portent ce nom. "S. Hilaire a été en relations suivies avec le célèbre monastère de Lérins. Il aurait fait une fondation monastique non loin de Mende, le monastère de St. Privat peut-être? Son zèle apostolique s'exerça surtout dans la vallée du Tarn, où il aurait fait également une fondation monastique. Il fut assiégé au 'Castrum' de la Malène par les troupes du roi d'Austrasie.S. Hilaire participe au Concile de Clermont en 535 et signe les décrets de morale et de discipline intérieure...Le nom de S. Hilaire, en raison de la langue occitane a été transformé en Chély, en certains endroits du Gévaudan; les vocables St Chély, équivaudraient à St. Hilaire d'après les étymologistes. Plusieurs de paroisses l'ont comme patron: la Parade, St Chély d'Apcher, St. Chély du Tarn, St. Hilaire de Lavit... Son culte a toujours été florissant dans la vallée du Tarn. Une chapelle lui est dédiée dans le cirque des Baumes où il est l'objet d'un pèlerinage."(les saints du diocèse de Mende, document pdf)Les habitants du village invoquaient gentiment Saint Hilaire sous le diminutif 'Ily'. Et comme tous les habitants parlaient le patois, ils disaient dans leur prière 'Sanch Ily, priez pour nous'. Est né ainsi le nom de 'Saint Chély'. (ville de Saint-Chély-d'Apcher)Sur le territoire des Gabales, après 535, saint Hilaire, évêque de Mende.
Venus de Rome, ils se firent cordonniers pour mieux annoncer l'Evangile, ils chaussaient gratis les pauvres et les riches ne connaissaient pas de meilleures chaussures. Tous ils s'attardaient avec plaisir pour entendre parler du Christ. Les français les disent avoir vécu dans la région de Soissons. Les anglais les font vivre dans le Kent. Shakespeare en fait la louange dans «Henri V» et dans «Jules César». Mais tous s'accordent à dire qu'ils donnèrent le témoignage du martyre. Leur «Passion» précise même que leurs bourreaux coupèrent leur peau en lanières. Avec eux, nous fêtons saint Rufin et saint Valère, qui, eux, choisirent d'être gardiens de grenier à blé afin de parler plus facilement avec les paysans des alentours. Ils donnèrent aussi le témoignage suprême de la foi.Saint Crépin et Saint Crépinien, cordonniers, martyrs (285 ou 286) - diocèse de Soissons, Laon et Saint-Quentin.Illustration: 'Saint Crépin et saint Crépinien recevant les palmes du martyre', tableau dans l'église Saint-Martin de Chaudes-AiguesUn internaute nous signale: "Ces deux saints ont été adoptés par les Anglais sur ordre de Henri V car leur fête correspond au jour de la victoire anglaise d'Azincourt"À Soissons, les saints Crépin et Crépinien, martyrs.
À l’approche de Noël, les décorations fleurissent un peu partout. Mais pour les chrétiens, elles sont bien plus que de simples ornements : elles expriment la préparation du cœur à la venue de l’Enfant Jésus et font ainsi entrer la lumière de la Nativité dans nos maisons.Avec son entreprise Fée Petit Cœur, Claire va plus...
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